Domaine de l'Ile de Sein
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Domaine de l'Ile de Sein

Forum dédié au domaine de l'Ile de Sein dans le jeu des Royaumes Renaissants
 
AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment : -40%
Tefal Ingenio Emotion – Batterie de cuisine 10 ...
Voir le deal
59.99 €

 

 Les légendes de l'Ile

Aller en bas 
AuteurMessage
Chimene
Admin
Chimene


Messages : 349
Date d'inscription : 26/01/2012
Age : 33
Localisation : Rennes

Feuille de personnage
Charisme:
Les légendes de l'Ile Left_bar_bleue178/255Les légendes de l'Ile Empty_bar_bleue  (178/255)
Point de Combat: 3

Les légendes de l'Ile Empty
MessageSujet: Les légendes de l'Ile   Les légendes de l'Ile EmptySam 3 Mar - 8:40

La légende des neufs vierges:

Sur l'Ile de Sein, vivait une toute petite population d'hommes et de femmes dans un village au centre de l'île. Neuf de ces femmes n'étaient pas comme les autres. Elles ne vivaient pas dans le bourg, et refusaient les hommes. Elles refusaient aussi l'argent. On les appelait les Neufs Gallesinae.

On disait d'elles qu'elles étaient très belles et qu'elles vivaient en virginité perpétuelle. Il leur arrivait d'aller sur la mer et d'y rencontrer des hommes, mais au retour sur l'île, elles retrouvaient leur virginité primitive.

Elles étaient connues de très loin principalement pour deux de leurs connaissances. Elles étaient savantes dans l'art de guérir l'inguérissable, et dans celui de l'augure. Le pouvoir des plantes et la divination n'avaient aucun secret pour elles. De leurs chants, elles savaient provoquer à volonté les plus violents ouragans, ou calmer les mers les plus démontées. Elles commandaient aux vents, à la pluie et aux courants. La plus sollicitée était la plus savante, la plus belle et la plus jeune des neufs : Velléda.

Elles honoraient l'ancien Dieu, vénérant en lui l'Entité Créatrice qui avait pour nom Oiv. Ce nom était si sacré que nul n'avait le droit de le prononcer. Mais elles fêtaient aussi Dana, la Terre nourricière, la mère de toute chose vivante, minérale, végétale ou animale, si présente sur l'Ile ; Lug, représentant la Lumière et la Vérité ; Belen, le symbole de l'Esprit Solaire et du disque flamboyant nécessaire à toutes vies ; Esus, représentant la Foudre et la force vivante ; Ogmios, représentant le Verbe emblème de l'éloquence ; et enfin Don, symbole de la Mer si ardente.

Elles étaient filles de Dana et pensaient que la force d'Oiv était dans chaque parcelle de ce qui vole comme les oiseaux, coure comme les biches, marche comme l'homme, rampe comme le serpent, saute comme la sauterelle, germe comme le grain, grandit comme l'arbre, roule comme le galet, tombe comme la pluie, chauffe comme le soleil. Druidesses, Prêtresses, Maîtresses de la porte entre les deux Mondes, elles avaient le pouvoir de prendre la forme de toutes les choses vivantes sous la protection de Dana. Elles pouvaient ainsi voler dans le ciel, nager sous les eaux ou stagner en granit.

Leur existence n'est plus attestée sur l'Ile de Sein depuis plusieurs siècles maintenant, mais les neufs Gallisinae ont laissé une telle empreinte dans chaque roche, chaque brin d'herbe qu'on peut sentir leur présence à présent que l'ère du XXIème siècle est sur nous. Leur légende fait partie intégrante de l'île et permet de mieux comprendre le respect naturel et instinctif des Sénans envers la nature et la mer.
Revenir en haut Aller en bas
https://domainedesein.forumgratuit.org
Chimene
Admin
Chimene


Messages : 349
Date d'inscription : 26/01/2012
Age : 33
Localisation : Rennes

Feuille de personnage
Charisme:
Les légendes de l'Ile Left_bar_bleue178/255Les légendes de l'Ile Empty_bar_bleue  (178/255)
Point de Combat: 3

Les légendes de l'Ile Empty
MessageSujet: Re: Les légendes de l'Ile   Les légendes de l'Ile EmptySam 3 Mar - 8:52

La légende d'Is:

Les hommes avaient construit une ville sur une longue roche au large de la baie de Douarnenez. Elle était si basse qu'il avait fallu la protéger de digues et de hauts murs, seulement ouverts par une double porte à système d'écluses.

L'île se nommait Is et avait pour roi Gradlon le Grand, souverain de Cornouaille. Il avait renié les anciennes croyances et s'était converti au christianisme avec un tel fanatisme qu'il jurait de massacrer tous ceux qui refuseraient le baptême. Il gardait juste vivants quelques uns de ces pauvres hères afin qu'ils lui servent d'esclaves dans sa belle cité d'Is. Il était conseillé par Corentin, et par son neveu Guénolé. A eux trois, ils firent d'Is une si belle ville que la capitale de la France en devint jalouse et fit tout pour avoir sa grâce et sa richesse, Lutèce voulut être pareil à Is, et bien plus tard, prendra jusqu'à son nom : Par Is devint Paris. Les églises surtout étaient belles, leurs décorations étaient travaillées par de grands artistes de tous les arts, de la sculpture, à la peinture, en passant par le travail du verre ou du fer et du bois. Dieu était partout, majestueux, riche, omniprésent.

Pour éteindre la flamme des druides dans les mémoires de ses sujets, Gradlon avait fait abattre nombre de menhirs et tailler des croix au sommet d'autres. Il avait fait arracher la langue de toutes les femmes du pays afin qu'esclaves et muettes, elles ne puissent pas enseigner les anciens noms sacrés à leurs progénitures. Ainsi était Gradlon le Grand pour l'immense gloire de Dieu.

Alors qu'il était sur le continent, son chemin croisa celui de trois prêtresses de l'ancien dieu. Il fit massacrer deux d'entre elles, mais tomba amoureux de l'extraordinaire beauté de la troisième, Malgwen la Noire, qu'il ramena à Is. En signe de soutien pour ses sœurs mutilées, elle refusa de lui parler et mourut en donnant le jour à une petite fille prénommée Dahut la Belle. Au moment où Malgwen rendit son dernier soupir, Gradlon entendit sa douce voix résonner dans sa tête le condamner en malédiction à mourir sans descendance.

Dahut fut élevée dans la cité, adulée par son père et instruite dans la nouvelle religion. Pourtant, au fond d'elle-même, elle rejetait un dieu si cruel envers les pauvres, et si impitoyable envers les anciennes croyances de son peuple. Elle sentait au fond d'elle que Dieu devait se trouver dans tout chose de la nature et pas seulement dans les églises. Elle accusa Corentin et Guénolé de se servir de Gradlon pour s'enrichir et asseoir leurs pouvoirs. Elle refusa d'incliner sa tête dans les chapelles et les églises.

Il advint que Dahut fut grosse sans avoir d'époux. Gradlon offrit devant Dieu la main de sa fille et son royaume à tout homme qui passerait sous sa couronne tenue par trois fils, si la couronne tombait sur sa tête. Tous les seigneurs tentèrent leur chance car Dahut avait la beauté de sa mère et la richesse de son père, mais la couronne du roi resta attachée aux trois ficelles. Les hommes du peuple furent donc admis à avancer à leur tour sans succès. Il ne restait que le plus pauvre d'entre les pauvres, un jeune homme roux qui n'avait même pas de domicile et possédait seulement un corbeau noir. Il s'avança sous la couronne qui se détacha et vint doucement se fixer sur sa tête rouge. Celui-ci offrit sa couronne à Dahut et lui dit s'appeler Bran Ruz (corbeau rouge). Il lui déclara être la vague qui l'avait engrossée et être le père de l'enfant à naître.

Gradlon ne pouvait admettre un tel scandale, pas plus qu'il ne pouvait revenir sur sa parole de crainte d'être parjure devant Dieu. Il demanda le Jugement de Dieu, fit attacher sa fille, son gendre et son tout nouveau né petit fils dans une barque qu'il lança dans les flots déchaînés d'une tempête.

Mais il ignorait que Bran Ruz était l'ami du Roi Poisson et que Dahut avait hérité des connaissances de sa mère. Le nouveau couple et son enfant arrivèrent sains et saufs sur une plage.

Le Rouge décida alors de défier Gradlon, désormais roi usurpateur, en un combat singulier. Une grande bataille s'en suivit, mais en perdant celle-ci, Gradlon fut obligé d'accepter le défi imposé par son gendre. Le combat fut fait dans les règles, et le trop vieux roi dut s'agenouiller devant le nouveau souverain d'Is.

La première mesure que prirent Bran Ruz et Dahut la Belle fut de libérer tous les esclaves et de leur permettre la liberté du culte. C'était sans compter sans Guénolé qui était encore à Is. Grandlon, laissé libre dans la cité, possédait toujours la clé des écluses. Avec l'aide de Guénolé et d'une poignée d'hommes lui étant restés fidèles, il fit assassiner le Rouge et Dahut et enleva l'enfant nouveau né, puis il ouvrit les portes, libérant l'eau dans la cité, noyant gens et animaux, écroulant les maisons et dévastant toute l'île.

Gradlon et Guénolé purent fuir à bord du navire qu'ils avaient pris soin de préparer avant leur méfait. Ils partirent à l'Abbaye de Landevennec. Mais l'âme de Dahut vint la nuit ravir celle de son fils et l'enfant mourut, sans que Gradlon n'ait d'autre descendance. La malédiction de Malgwen était complète.

D'Is, il ne reste rien. Pourtant, les pêcheurs entendent encore régulièrement les cloches des églises sonner sous la mer. Ils savent bien qu'Is n'est qu'endormie sous l'eau et qu'elle resurgira de nouveau des flots lorsque sa sœur, Paris sera à son tour engloutie.
Revenir en haut Aller en bas
https://domainedesein.forumgratuit.org
Chimene
Admin
Chimene


Messages : 349
Date d'inscription : 26/01/2012
Age : 33
Localisation : Rennes

Feuille de personnage
Charisme:
Les légendes de l'Ile Left_bar_bleue178/255Les légendes de l'Ile Empty_bar_bleue  (178/255)
Point de Combat: 3

Les légendes de l'Ile Empty
MessageSujet: Re: Les légendes de l'Ile   Les légendes de l'Ile EmptySam 3 Mar - 8:55

La légende des Korrigans:

Il est bien entendu que vous ne me croyez pas lorsque je vous parle des korrigans, ces curieux petits lutins qui vivent selon les endroits dans les forêts, les marécages ou encore les mares. Bien sûr, vous me direz qu'il n'y a pas sur l'Ile de Sein de bois ou de marais qui pourraient abriter de semblables créatures qui n'ont rien de très catholiques et qui sont juste inventées pour faire peurs aux petits enfants. Bien entendu…


Pourtant, les korrigans, protecteurs de la nature, n'existent pas seulement dans les arbres ou sous la terre humide des tourbières. Ils sont aussi dans les maisons, sur les bateaux et sur la lande, dans les champs de pommes de terre, de blé et sur la grève. Il y a tout ça sur l'Ile de Sein. Ils sont partout où il y a des dolmens ou des menhirs. Et il y en a sur l'Ile de Sein. Ils sont à tous les endroits où la nature est bien respectée et tout est en ordre. Et c'est le cas sur l'Ile de Sein.

Sur l'île, il y a des Korrigs et des Teuz.

Les Korrigs sont les korrigans des landes. Ils sont petits, espiègles et aiment beaucoup faire du bruit sans se montrer, riant ensuite de votre peur et de votre course épouvantée et effrénée vers l'abri du bourg. Rien ne leur plait plus qu'une belle lande bien préservée, un champs bien retourné, fumé avec soin et quotidiennement entretenu. Si vous vous occupez mal de votre petit champs, ils viendront, cruels, et détruiront les racines par le dessous, faisant des plantes malingres et faibles qui ne donneront guère. Mais si votre sueur fait partie de l'engrais mis en terre, alors ils chanteront et danseront pour encourager vos plantations et les inciter à se faire belles et abondantes.

Les Teuz sont des génies domestiques, vivant près des humains dans leur quotidien. Ils sont très attachés à leur confort et ne supportent pas la poussière et les dérangements. Aussi, si vous voulez être bien avec les Teuz qui vivent à vos côtés, tenez votre maison bien soignée si vous êtes une femme, ou votre bateau bien propre si vous êtes un homme. Ou bien gare aux objets qui disparaissent dans l'habitation, les clés, les lunettes, le dé à coudre, les ciseaux ; et sur l'embarcation, attention aux voiles qui s'abattent et aux manœuvres qui se déjouent, sans oublier les bonnets et les bérets qui s'envolent sans vent.

Mais si votre bien est bien entretenu et que de temps en temps, vous leur laissez la part du pauvre à table ou un poisson rien que pour eux, alors vos Teuz seront vos meilleurs alliés. Ils sont très sensibles au respect des humains envers leur race, car les hommes n'ont pas toujours été tendres avec eux, avant l'arrivée de la religion du dieu unique, et ils les ont chassés de leurs Terres Sacrées, détruisant leurs menhirs et faisant tomber leurs dolmens.

Vos Teuz prendront alors toutes les apparences pour vous tenir compagnie avec plaisir, vous aider dans votre ménage ou votre couture à la maison, maintenant le feu plus longtemps allumé, sans que le goémon sec ou les bouses ne se consomment trop vite, et la chandelle brûlant sans trop baisser, déroulant la bobine sans qu'elle ne fasse de nœuds et toutes ces petites choses si agréables lorsqu'elles se passent bien.

Ou alors, ils sauront vous réveiller si vous êtes de quart sur le navire et que par malheur le sommeil vous prend. Mais avant de vous réveiller, ils liront la carte et le compas et remettront votre embarcation dans la bonne direction car ce sont des marins de premier ordre.

Dans une maison du centre du bourg, il y a un Teuz bienfaisant. Les propriétaires ont un escalier très raide descendant en à-pic dans un coin sombre de la maison. Tant qu'ils ont été seuls, rien ne se passait, puis ils ont eu des enfants. Dès que ceux-ci ont été en âge de descendre seuls les escaliers, lorsqu'ils étaient en haut de la première marche, le bruit caractéristique d'un interrupteur se faisait entendre. Les parents ont compris qu'ils devaient installer la lumière dans l'escalier pour éviter une chute dangereuse. Du jour où la lumière a jailli dans le coin sombre, le bruit de l'interrupteur a cessé et il n'y a jamais eu d'accident.

Dans une autre maison du bourg, selon le temps, le bruit d'une horloge qui égraine le temps se fait clairement entendre. A chaque fois que les femmes de la maison entendent ce son, elles savent que les Teuz les préviennent qu'elles seront bientôt en deuil d'un membre de la famille.
Revenir en haut Aller en bas
https://domainedesein.forumgratuit.org
Chimene
Admin
Chimene


Messages : 349
Date d'inscription : 26/01/2012
Age : 33
Localisation : Rennes

Feuille de personnage
Charisme:
Les légendes de l'Ile Left_bar_bleue178/255Les légendes de l'Ile Empty_bar_bleue  (178/255)
Point de Combat: 3

Les légendes de l'Ile Empty
MessageSujet: Re: Les légendes de l'Ile   Les légendes de l'Ile EmptySam 3 Mar - 8:59

La légende des barques sorcières:

Sur l'Ile de Sein, des Sénanes, veuves de leur état, connaissent bien la mer. En compagnie des Esprits des Eaux, elles vont aux Rondes de la Mer tenir conférences et sceller les destins. Elles possèdent tous les pouvoirs pour faire lever le vent, calmer les vagues et danser les dauphins. Elles peuvent s'entendre avec le capitaine du Bag Noz pour le faire apparaître où elles le désirent.

Elles sont les maîtresses de leur embarcation, la Barque Sorcière, ou Bag Sorser. Ce n'est pas une vraie barque ni même un canot. Elle est composée de leurs instruments de travail pour le goémon : la grande panière d'osier à fond bombé et le bâton de goémonier.

Elles entrent dans leur panier en s'accroupissant et se servent de leur bâton comme d'un gouvernail. Puis, levant leur tablier, elles appellent le vent et s'éloignent dans la Chaussée.

Elles possèdent le don de "vouer à la mer".

Titikatou était l'une d'elles. Elle était sans âge, veuve, triste mais dynamique. Elle travaillait sans relâche au goémon et habitait une petite maison du bourg. Elle allait à la messe bien comme il faut, et respectait le recteur. Elle parlait à ses morts et saluait les vivants. Les gens l'aimaient bien, mais s'en méfiaient quand même un peu : c'est qu'elle était Sorser (Sorcière). Il vaut toujours être bien avec une sorcière, que de l'avoir à dos et de risquer qu'elle vous jette un sort ou qu'elle voue votre homme à la mer.

Pour se venger d'un mauvais voisin, on pouvait aller la voir. Il fallait pour cela la trouver quand elle s'en retournait chez elle, après le travail ou après la messe du soir, quand la pénombre commence à se faire complice. Il fallait lui parler bien poliment et lui demander de ses nouvelles. C'est Titikatou qui, la première, devait aborder la question de pourquoi on avait besoin de ses services. Alors, on lui racontait son malheur et de qui il venait. Titikatou hochait la tête sous la jibilinenn et ne disait rien. Vous lui remettiez trois objets appartenant à votre ennemi, que vous aviez dérobés sans qu'il ne s'en aperçoive, et vous proposiez une date pour l'exécution de votre adversaire. Puis, vous lui mettiez dans la main le prix de son service. Elle vous saluait sans dire un mot et s'en allait son chemin, pendant qu'encore tremblant, vous rentriez chez vous.

Suivant la marée, la nuit, la lune ou les étoiles, quelques rares personnes dehors de très bonne heure pouvaient la voir comme si elle se rendait au goémon, son panier planté sur son bâton. Personne n'aurait osé la suivre. Tous savaient bien qu'en réalité, elle partait retrouver les Esprits des Eaux. Effectivement, le tablier était bientôt levé et d'autres marins racontaient à voix basse l'avoir croisée sur les vagues à quelques heures de l'aurore.

Au petit jour, elle était de retour chez elle, comme si elle n'était jamais sortie dans la nuit. Titikatou reprenait sa vie quotidienne, et si elle vous croisait, elle ne parlait pas de vos confidences de la veille. Il n'y avait qu'à attendre en tremblant. Elle partait ainsi trois nuits de suite, emportant à chaque fois avec elle un effet de votre ennemi que vous lui aviez remis, et revenant les mains vides.

Vous savez que si vous avez réussi, votre ennemi allait probablement ne pas rentrer de la pêche à la date que vous aviez demandée, et qu'il y aurait bientôt une nouvelle veuve sur l'île : un accident, le Bag Noz, une lame de fond, tant de choses peuvent arriver sur un bateau. C'était cela "vouer quelqu'un à la mer": jeter une malédiction qui l'entraîne à périr, englouti par les flots

Mais si vous n'aviez pas réussi, alors il était trop tard pour tenter de sauver votre âme. Et c'est vous que l'Ankou viendrait chercher à la date proposée par vos soins. On ne jette pas des sorts impunément.
Revenir en haut Aller en bas
https://domainedesein.forumgratuit.org
Chimene
Admin
Chimene


Messages : 349
Date d'inscription : 26/01/2012
Age : 33
Localisation : Rennes

Feuille de personnage
Charisme:
Les légendes de l'Ile Left_bar_bleue178/255Les légendes de l'Ile Empty_bar_bleue  (178/255)
Point de Combat: 3

Les légendes de l'Ile Empty
MessageSujet: Re: Les légendes de l'Ile   Les légendes de l'Ile EmptyJeu 7 Juin - 10:07

Les légendes de l'Ile Image010
Revenir en haut Aller en bas
https://domainedesein.forumgratuit.org
Contenu sponsorisé





Les légendes de l'Ile Empty
MessageSujet: Re: Les légendes de l'Ile   Les légendes de l'Ile Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Les légendes de l'Ile
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Domaine de l'Ile de Sein :: Château de l'Ile de Sein :: La bibliothèque-
Sauter vers: